Le tribunal correctionnel de Paris a reconnu Nicolas Sarkozy coupable d' »association de malfaiteurs » et l’a condamné, selon le jugement cité, à cinq ans de prison ferme, avec mandat de dépôt à effet différé et assorti d’une exécution provisoire. L’annonce a provoqué une onde de choc et une forte couverture médiatique en Europe.
Le verdict et ses implications
Le tribunal a retenu le délit d’association de malfaiteurs à l’issue du procès. La peine prononcée — cinq ans d’emprisonnement ferme — est assortie d’un mandat de dépôt à effet différé et d’une exécution provisoire, formulations juridiques qui, telles que rapportées, impliquent une mise en œuvre rapide de la décision tout en tenant compte des délais procéduraux.
Plusieurs commentateurs ont souligné le caractère inédit de la sanction pour un ancien président de la République française. Jusqu’à présent, même lorsqu’ils avaient été sanctionnés, les dirigeants français n’avaient pas été confrontés à une