En se rendant à Marseille jeudi 20 novembre, le ministre de l’Intérieur Laurent Nuñez renouait avec un territoire qu’il connaît bien : il y a exercé des fonctions sensibles, notamment comme préfet de police de 2015 à 2017. Mais cette visite, organisée une semaine après l’assassinat de Mehdi Kessaci, 20 ans, frère d’Amine Kessaci, une figure associative locale connue pour son action dans l’« antinarco », s’inscrit dans un contexte de tensions et d’interrogations persistantes sur l’efficacité des réponses publiques face à la violence.





