Déroutée par la démission du premier ministre, Sébastien Lecornu, la gauche a passé près de vingt‑quatre heures (24 heures) à tenter de reprendre l’initiative face à une situation politique devenue confuse. Entre l’ambition de gouverner, le souhait, pour certains, d’obtenir le départ du chef de l’État, et l’espoir de raviver une union de la gauche, chaque formation — du Parti socialiste (PS) à La France insoumise (LFI), en passant par les Écologistes et Place publique — a cherché à imposer sa ligne.