Frédérique Bredin, candidate PS dans la législative partielle de la 2e circonscription de Paris, a assimilé La France insoumise à l’extrême droite, provoquant la colère de Jean‑Luc Mélenchon et de LFI. Cette polémique, alors que le premier tour est fixé au 21 septembre et que LFI s’est engagé par le NFP à ne pas se présenter, relance le débat sur l’unité de la gauche face au RN.

Les élus écologistes, annoncés par David Belliard, entendent soutenir Frédérique Bredin pour la législative partielle de la 2e circonscription de Paris (21 et 28 septembre), un choix présenté comme « responsable » pour préserver l’union de la gauche et contrer un éventuel avantage du Rassemblement national. La circonscription (Ve, VIe, VIIe) est vacante après l’invalidation de Jean Laussucq; la course oppose aussi Michel Barnier, Rachida Dati et Thierry Mariani, dans un contexte politique et judiciaire tendu.

Élection législative partielle dans la 2ᵉ circonscription de Paris (5ᵉ‑6ᵉ‑7ᵉ) les 21 et 28 septembre 2025 : la vacance liée à l’inéligibilité de Jean Laussucq transforme le scrutin en véritable test politique. Rachida Dati revendique la partielle comme tremplin pour la mairie de Paris 2026, face à Michel Barnier (LR) — une confrontation qui révèle et pèse sur l’unité de la droite et du centre avant les municipales.

Rachida Dati maintient sa candidature à la législative partielle de la 2e circonscription de Paris (5e, 6e, 7e) malgré l’investiture de Michel Barnier par Les Républicains, appelant au rassemblement de la droite et du centre pour les 21 et 28 septembre. Sa campagne se déroule en parallèle d’un dossier judiciaire — première audience le 29 septembre — et prend une dimension stratégique pour la recomposition politique à Paris et la préparation des municipales 2026.